Et si je n’en gardais qu’une?

La saison des mariages 2016 s’est achevée et, comme en 2015 ou 2014, je prends le temps de me livrer à ce traditionnel exercice: et si je ne devais retenir qu’une seule image de chacune de ces unions?

Comme je le dis souvent, « choisir, c’est renoncer », c’est pourquoi, outre le fait de vous présenter une extrême réduction de journées riches en émotions, je vous donne également les raisons qui m’ont amené à cette sélection.

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Je m’étais mis énormément de pression pour cette prestation en Auvergne (détaillé dans le newsletter N°38) et ce moment de grâce est en opposition avec mon état d’esprit en déclenchant. Je venais de me taper un sprint afin de précéder les mariés en procession, en sortie de mairie vers le lieu de la fête. Je voulais positionner un flash déporté en vue d’un éventuel portrait des mariés devant un paysage remarquable. Hors de question d’interrompre le cortège plus de 30 secondes, juste pour une image, c’est pourquoi alors que j’attendais et voyais arriver les mariés, tout en cogitant sur mon mode opératoire, le mode reptilien a repris le dessus : cette petite ballerine m’est apparue dans un rayon printanier et j’ai détourné mon attention un instant sur elle.

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J’aime beaucoup l’ambiance des préparatifs. Et c’est avec un engouement certain que j’ai suivi Anita dans ces moments. A l’issue de l’habillage, et comme je suis toujours à l’affût de nouveaux points de vue, outre le reflet dans le miroir ainsi que l’harmonie des couleurs, j’ai été ému d’intégrer dans ma composition ces figurines offertes par la fille d’Anita pour le jour J.

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 Ah, la découverte… C’est toujours une suspension dans le temps. Mathieu était fin prêt et je lui ai proposé d’attendre sa belle dans ce petit vestibule en toute discrétion. C’était sans compter sur le défilé des proches qui rejoignaient l’extérieur. Je pense que cela a contribué à faire monter la pression et, même si je fais tout pour être le plus discret possible durant ces précieuses secondes, contaminé par l’émotion ambiante, j’ai eu une grosse boule dans la gorge.

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En photographie de mariage, c’est parfois très sportif : je ne dis pas cela parce que Luigi est footballeur pro ou bien parce qu’il y a des figures imposées comme au patinage artistique ou bien encore parce que je me déplace beaucoup. La cérémonie religieuse venait de s’achever, j’étais resté à l’intérieur de l’église pour réaliser quelques images pendant que l’assistance sortait. Tout en shootant, je me préparais mentalement à la « mêlée fugace » de la sortie d’église. J’ai juste eu le temps de poser un flash à côté de la porte, de saisir mon marche pied laissé à l’extérieur, de me frayer un passage au sein de l’excitation des invités, de grimper et me rendre comte que le point de vue n’était pas top, de m’agenouiller pour franchir les rangs formés par les convives et en émergeant sous la foule, de relever la tête pour mitrailler ces quelques secondes. Au final, pas plus d’une douzaine de clichés (sachant que je peux shooter jusqu’à 6 images par seconde en mode rafale). Je retiens celui-ci pour l’attitude très fière de Stéphanie,pour les quelques pétales de roses qui entourent son visage,pour la démarche assurée de Luigi et l’arrière-plan du vitrail.

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 Réaliser des portraits officiels ne demande pas nécessairement beaucoup de temps. Hors de question de prendre en otage les mariés qui sont là pour profiter de leurs invités! Alors lorsque, durant le cocktail approche l’heure dorée, quelques minutes d’échappée suffisent à proposer une petite respiration au couple du jour. Ce type d’image, avec un flash déporté en contre-jour est récurrent dans mes parti-pris mais je ne m’en lasse pas. Surtout lorsque cela contribue à sublimer silhouettes et environnement.

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En général, la configuration des sorties d’église change peu. En l’occurrence, Saint-Hilaire à Melle, offre une disposition peu commune : un grand escalier plonge vers l’entrée et la descente se continue jusqu’à l’autel (remarquable également). Aussi, lorsque les mariés en haut des marches s’apprêtaient à rejoindre leur voiture, ce dernier regard qu’ils posent sur l’assistance devient une contre-plongée impossible à réaliser ailleurs, offrant une composition originale avec le cor de chasse.

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J’ignore s’ils ont eu beaucoup de retours après ce lâcher de ballons mais je me rappelle très bien de cet envol. Plusieurs téléthons d’expérience (ça sert d’être papa :-) m’ont permis de choisir un point de vue que l’on ne peut pas répéter si on se loupe … Du haut de mon mètre quatre vingt six, je ne pense pas naturellement à me rapprocher du sol mais là, j’avais choisi un très grand angle, et d’être au plus près de l’action. L’engouement général a fait le reste.

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 J’aurais pu retenir pléthore d’images pour Aude & Matthieu, notamment lorsque les alliances sont arrivées par drone, ou bien lors du baiser « Autant en emporte le vent » avant le début du repas. Mais non, ce qui m’a marqué, ce fut cette découverte en pleine nature, quelques minutes avant la mairie. Pour la simplicité et la beauté du moment.

Mariage couple arbres

Avant d’aller à la mairie, nous ne disposions que de peu de temps mais malgré cela, les portraits réalisés m’ont beaucoup plu. Cette image pour la simplicité et la grâce de la robe mais surtout pour le challenge de l’instant: faire croire que nous étions presque dans une forêt avec deux arbres fruitiers sur une pelouse. Et toujours ce coup de flash en contre-jour.

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Trente secondes avant l’entrée en salle, dans l’obscurité presque totale, proposer aux mariés de rejoindre un arbre à 100 mètres, galérer pour la mise au point (même avec des cailloux lumineux, difficile d’accrocher l’autofocus lorsque l’on est dans le noir), être satisfait du rendu final, c’est tout ce qui compose cette image réalisée très rapidement.

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Les préparatifs en compagnie de la mariée sont des moments magiques : n’oublions pas les fous rires que l’on peut vivre en compagnie du marié et de ses garçons d’honneur et témoins ! Pour cette image sans trucages, clin d’oeil à une saga intersidérale réputée, outre le défi de déclencher au bon moment, le challenge réside aussi dans le fait d’être compréhensible dans ses intentions et dans le conditionnement des participants.

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Lorsque la mariée apparaît aux côtés de son papa sur le seuil, c’est toujours une minute particulière, même si l’on sait que cela va arriver. Je suis positionné là où j’estime pouvoir réaliser l’image la plus forte possible (sachant que je ne me fige pas longtemps afin d’avoir également le regard du fiancé). Ici, j’apprécie le fait d’avoir pu aligner la flamme, le prêtre, la croix, le marié, l’assistance, la mariée et son père, et le porche. La particularité technique du contre-jour m’a amené à semer un flash déporté derrière le prêtre afin de souligner la silhouette du marié et d’éclairer un peu l’intérieur de l’église.

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Les cérémonies laïques en extérieur permettent peut-être davantage de liberté de mouvement que dans les espaces clos. Ici, je remercie les mariés d’avoir disposé un drap au sol (qu’ils ont foulé sans trébucher) et qui m’a permis de mettre un genou à terre sans ruiner mon pantalon.

e69c6435Pour l’originalité de la robe de la mariée (on ne voit ici que le jupon mais c’est déjà très gracieux) et l’admiration qu’ont les filles de la mariée pour leur maman. C’était le dernier mariage de cette saison 2016 et j’ai été gâté !

Ils ont été quatorze couples à me faire confiance, à m’accepter dans une intimité particulière et je tiens à tous les remercier pour le partage de ces moments inoubliables.

La foire aux bestiaux de Laissac

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La Foire aux bestiaux de Laissac, en Aveyron, est une institution ancestrale que j’ai eu l’occasion de découvrir lors de mes dernières vacances. Tous les mardis matin se retrouvent négociants, éleveurs, bouchers et passionnés pour prendre part à un ballet très codé. La réputation du deuxième marché aux bestiaux de France est également fondée sur le respect des règles qui garantissent sécurité et équité des transactions.

Un parcours pour les visiteurs a été mis en place. Très didactique, il permet de mieux appréhender l’événement. Ainsi, même le profane comprend vite  que les enjeux en cause requièrent toute la structure d’encadrement mise en place. Le danger est réel, et malheureusement, on déplore quelques décès accidentels. C’est pourquoi, lorsque l’on visite ce marché, on peut parfois se demander qui est réellement derrière les barreaux, mais on est rassuré de pouvoir admirer cette immense fourmilière, bien à l’abri sur la plateforme qui surplombe les enclos.

Ici, la parole donnée vaut contrat et, en observant les négociations, nul besoin d’entendre ce qui se discute pour comprendre. Tels des acteurs, certains surjouent quelque peu, cela fait partie intégrante des usages. Parfois, les échanges deviennent plus que virils mais, après la foire (et pendant un superbe marché qui a lieu dans le village en même temps) on se réconcilie au café.

Le dress code pour se fondre dans la foule : blouse, bottes, chemise à carreaux, canne ou bâton.

Un événement hebdomadaire « vrai » (le slogan du département, « Vivre vrai » s’y retrouve complètement) où l’on croise de vraies gueules, un bonheur pour les photographes…

En cliquant sur les images ci-dessous, vous accéderez à une galerie complète.

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Foire de Laissac, Aveyron

Coupe de France d’escalade-difficulté @ L’Acclameur

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C’est en forgeant …

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« … que l’on devient forgeron ! », OUI !

Et j’aurais pu compléter par « mais ce n’est pas en se mouchant que l’on devient moucheron, ni en sciant que Léonard devint scie »comme le disait Francis Blanche.
L’adage s’applique à tous les domaines et particulièrement à la photographie qui se nourrit de l’expérience des prises de vues passées.
Au programme de ce deuxième mois de l’année (certes un peu plus long, comme tous les 4 ans, mais un peu trop calme à mon goût):
– la découverte de la Forge de Rohane (via le Club des Entrepreneurs du Marais Poitevin)
– une sympathique séance familiale à domicile
– l’appropriation par les grimpeurs d’un module d’escalade
– le Salon du Mariage de Niort

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Outre la convivialité et le plaisir de retrouver d’autres entrepreneurs, le CEMP , c’est aussi l’opportunité de découvrir des métiers que l’on peut méconnaître. En l’occurence, la dernière réunion me laisse un excellent souvenir puisque nous avons pu être au plus près de la forge et du talent didactique du passionné Michaël Dugleux, responsable de la Forge de Rohane. Pour ceux qui me suivent sur twitter, rappelez-vous j’avais déjà commencé à m’intéresser à cet art, grâce à mon beau-père… Autant vous dire que là, j’en ai pris plein les mirettes. Tous les élements sont réunis au service du beau.

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Retrouvez un tout petit aperçu d’une séance photo à domicile. Le principe est simple: pour 149 €, c’est le studio et le photographe qui viennent à vous. Une heure de prises de vues sans limitation quantitative, et c’est l’occasion de s’amuser en famille pour la postérité. Grand merci aux parents de la charmante petite Lily qui m’ont autorisé à partager avec vous ces quelques images.

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Ca y est ! Le module d’escalade (dont j’ai suivi toute la fabrication) est en place. Les élèves de l’Acclameur s’en donnent à coeur joie et en toute liberté (sous l’oeil bienveillantet attentif des moniteurs). Un vrai plaisir de constater l’aboutissement de ce beau projet.

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Beaucoup de personnes à remercier pour cette 24ème édition du Salon du Mariage de Niort (et 4ème pour Un jour, une photo):
– mes assistantes Marine & Anne-Claire, qui m’ont supporté dans tous les sens du terme.
– les établissements Moinet & fils qui m’ont beaucoup aidé pour la décoration de mon espace.
– l’imprimerie Nouvelle Angevin, pour la qualité des supports et l’accompagnement.
– toutes celles et ceux qui m’ont fait l’honneur de leur visite sur le stand (et dont vous faites peut-être partie :-)

Bref, ce fut une édition riche et dense qui m’aura permis non seulement de bien remplir l’agenda 2016-2017 mais surtout de faire de superbes rencontres

ALLER PLUS HAUT …

Non, le titre de cette missive n’est ni un hommage à la chanson de Tina Arena, ni l’injonction d’un coach qui chercherait à vous motiver…
Il s’agit simplement de la petite litanie qui jalonne mes pensées du moment. Ce premier mois de 2016 fut plutôt calme côté prises de vues, ce qui m’a permis de cogiter quant à toutes les voies d’amélioration possibles de mon activité de photographe indépendant. Vous me direz que tout cela est bien normal, un entrepreneur ne cesse jamais de viser plus haut.
Ceci dit, il y a un rapport avec l’un des sujets que je vous propose ici : la fabrication unique d’un module d’escalade. Elévation, verticalisation, ça correspond. Ensuite, je vous emmène en reportage au coeur de l’assemblée générale de l’association CERFRANCE Poitou-Charentes. Puis, nous irons visiter l’Hermione (ici aussi, il est question du dépassement de soi) et enfin, je vous parlerai d’un rendez-vous capital et très proche.

Bref, être à la hauteur (et là vous passez de Tina Arena à Emmanuel Moire :-)

Bien à vous

Romuald

PS: l’image d’ouverture aurait pu être une allusion à nos chamois niortais, mais en l’occurrence, il s’agit d’un bouquetin.

Durant plusieurs semaines, j’ai eu le privilège de pouvoir assister à toutes les étapes de la fabrication du nouveau module d’escalade de l’Acclameur. Tout ce que j’aime, de l’atelier à l’installation: des hommes compétents, des étincelles, du spectaculaire, des défis, de la technique et de la grandeur. Ne vous privez pas de découvrir cette très belle réalisation en cliquant sur l’image ci-dessus.

A priori, passer une soirée en assemblée générale élective n’est pas très exaltant. Et bien ce fut tout le contraire: j’ai adoré couvrir cet événement, pour l’ambiance, l’accueil bienveillant des participants et également pour la deuxième partie de soirée où le conférencier Christophe Caupenne, ancien négociateur du RAID est intervenu. Outre ce reportage, un défi à relever : l’installation d’un studio pour réaliser le portrait d’une soixantaine d’administrateurs en un temps record.

L’Hermione était de retour à la maison, ce qui fut l’occasion d’une belle sortie dominicale et familiale à Rochefort. En arpentant le pont principal, je me suis souvenu de mon passage chez Asselin il y a quelques années maintenant.

Et nous arrivons au rendez-vous capital évoqué en début de missive. Pourquoi attacher autant d’importance au Salon du Mariage de Niort?
– parce qu’il s’agit d’un rendez-vous majeur pour remplir mon agenda
– parce que c’est maintenant la 4ème année que je m’y expose
– parce que cela fait deux ans que j’ai l’honneur de le présider
– parce que c’est la deuxième fois que je signe l’image qui représente l’événement

Pour toutes ces raisons (et bien d’autres), mais surtout pour le plaisir de vous y retrouver, je vous invite à faire un tour ce week end sous le dôme de Noron.

J’oubliais : cela fait maintenant 44 jours que je m’impose une discipline quotidienne sur les réseaux sociaux. Un peu comme une résolution, j’ai décidé de respecter davantage le nom de ma société en publiant chaque jour une nouvelle image. Il y avait cette lettre mensuelle, telle un support du lien qui peut nous unir, il y aura également ces diffusions quotidiennes. N’hésitez pas à aller aimer, commenter et partager ces souvenirs.

2016, BENAISE ?

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Chers tous,

Pas facile d’émettre des voeux surtout lorsque l’on voit ce que cela a donné l’an dernier. Néanmoins, l’optimisme nécessaire à la photographie me pousse à sincèrement vous souhaiter une année 2016 « benaise ». Et, comme depuis l’an dernier, mon fils illustre traditionnellement cet épisode, je réitère avec une image qui résume beaucoup de nécessaires à mes yeux: avec une âme d’enfant, s’émerveiller de petits riens, comme d’un rayon de lumière dans la poussière, d’un instant fugitif et beau.

Outre une rétrospective des unes de newsletters au fil de 2015, je vous propose le traditionnel match « conclusions/résolutions » en toute fin de message.

Bien à vous

Romuald

JANVIER 2015 POUR QUE 2015 …

marais

FEVRIER 2015 FAITES COMME SI JE N’ETAIS PAS LA …

givre

MARS 2015 MENAGE DE PRINTEMPS !

pompidou

AVRIL 2015 TOC TOC TOC !

cochon

MAI 2015 ALLEZ LES BLEUES !

heron

JUIN 2015

Un pré est vaurien quand en juin il ne donne rien.

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JUILLET 2015

A la Saint-Thierry, aux champs jour et nuit !

 

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AOÛT 2015 LES RAOUTS D’AOÛT

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SEPTEMBRE 2015 LES VENDANGES DE L’AMOUR

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OCTOBRE 2015 FLUCTUAT NEC MERGITUR

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NOVEMBRE 2015 DITES 33 !

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2015, en chiffres :

Près de 79 000 déclenchements (soient 10 000 de moins qu’en 2014, je ne sais pas pourquoi je me suis fourvoyé il y a un an en annonçant 46 000…), dont 23% au grand angle, 25 % au 50mm, 28 % au téléobjectif et le reste au transdard.
Le CA se maintient, quoi qu’en légère baisse. 13 mariages avec un panier moyen de 1300 €. Toujours le même ratio particuliers/entreprises.
Les objectifs définis fin 2014 ont été atteints pour la plupart. J’ai pu exposer comme souhaité et mes envies d’édition sont en voie d’être réalisées.
Côté web, j’ai désormais un site responsive mais très mal référencé (dans les domaines que je vise).
L’analyse de ce bilan confirme une certaine forme de stagnation malgré tout. Est-ce vraiment mon souhait (je n’ai en effet pas choisi de changer de statut individuel pour le moment) ?

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2016, en résolutions :

Prospection et communication seront les maîtres-mots de mes orientations.
Le changement d’url pour mon site n’a peut-être pas participé à son bon référencement.
Il me faut donc travailler le SEO pour corriger le tir et améliorer mon classement.
Les taux d’ouverture des newsletters sont à 23% dont 20% de clics.
Sur facebook, je suis passé à +33% de likers au mois de décembre et l’interactivité avec mes publications a explosé.
Histoire de respecter une certaine discipline quotidienne et de revenir à la base du nom de mon entreprise, j’ai commencé à publier sur twitter et facebook, chaque jour, une image tirée de mes archives.
Au-delà de la photographie sociale qui m’apporte toujours autant de satisfaction, j’aimerais bien réaliser davantage d’interventions en entreprise. Ce sera tout l’objet de ma prospection.

EN CONCLUSION

Parce que trêve d’auto-analyse et parce que sans vous, rien n’aurait été possible, je profite de cette tribune pour vous remercier pour la confiance accordée, pour nos riches échanges au fil de nos rencontres, pour vos critiques constructives, et pour le fait que vous continuiez à me solliciter.

Hâte de vous retrouver !

Saison 2015 : une image par mariage

Il me reste encore un mariage à réaliser pour cette saison, mais le bilan est déjà plus que riche, pour sa diversité, pour tous les moments d’émotion que m’ont offerts « mes petits fiancés », et pour le plaisir à partager ces précieux instants.
Donc, si je ne devais retenir qu’une seule image par mariage, quelle serait-elle?

Livrons- nous à ce petit exercice pas aussi évident que cela car, comme disait l’autre, « choisir, c’est renoncer »… Rappelez-vous, pour la saison 2014, je l’avais déjà pratiqué. L’ordre reste chronologique.

Sur la plupart des images, si vous cliquez, vous pourrez accéder à un court diaporama du mariage concerné.

Avant d’accueillir le fiancé, juste à la fin de l’habillage, je demande à une jeune fille de tendre un bout de jambon à bout de bras. On m’a toujours dit que les Jack Russell sont nerveux… A l’origine, je voulais un saut, mais j’imagine que je n’ai pas demandé à tendre assez haut… Pour la légèreté de l’instant malgré la pression qui montait (toujours ainsi avant les cérémonies), je retiens cette image.

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Je retiens cette image parce que c’est un parti-pris (comme toutes les images d’ailleurs…) Pour la sortie de mairie, plutôt que d’avoir les mariés du point de vue des invités, j’ai souhaité plus d’intimité et je me suis positionné au 1er étage de la mairie. Je ne le regrette pas car j’aime la composition, et la sincérité de cet instant.

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Autant en emporte le vent…Une image que j’aime bien parce que derrière le dispositif « studio », le décor est naturel et très beau.  Et j’aime beaucoup la symbolique des deux arbres. Je leur souhaite une forêt.

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Encore un moment de relâchement, juste avant l’entrée des mariés. Une petite mise en scène improvisée qui a ravi les gamins.

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La plus belle cérémonie laïque qu’il m’ait été donné de voir dans mon métier. Simple, beau, efficace. Parce que ce type d’image est une sorte de figure imposée en mariage, mais surtout parce  qu’en la regardant, je revis la vérité de l’émotion du moment.

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Encore et toujours un instant vrai, où la silhouette de la mariée participe à la composition. J’aime les rappels de couleur et la spontanéité du selfie volé.

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Avant de rejoindre le cocktail, une petite répétition à huis clos pour l’ouverture de bal à venir.

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L’image suivante me plaît pour deux raisons : c’est une prouesse technique pour la mise au point malgré les confettis (quoi qu’il suffit de bien régler son autofocus) et parce qu’ils sont rayonnants à cet instant.

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Encore un instant fugace, réalisé quelques minutes avant l’entrée en salle. Je retiens cette image parce que je les trouve beaux et pour les couleurs qui semblent plus automnales que crépusculaires.

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Une image que je rêvais de faire depuis longtemps. Même si le peu de recul au coeur du pigeonnier impose le très grand angle et ses déformations, j’aime l’expression générale du couple ainsi saisi.

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Avant de partir pour la mairie, en fin de découverte, j’ai souhaité jouer sur les ombres et le suggéré. Je suis très content de l’ombre portée en arrière plan et de la composition générale.

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Un dernier instant non pas volé mais demandé « mettez-vous sous le prunus, vous faites ce que vous voulez pendant deux minutes ».

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La Vendée sur Facebook

Il y a maintenant quelques jours, j’ai proposé à la personne qui anime la page « La Vendée » sur facebook, forte de près de 9000 fans, de réaliser un petit entretien. Voici le fruit de notre rencontre.

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Un jour, une photo Que peux-tu nous dire de toi ?
La Vendée  Je m’appelle Clément, j’ai 22 ans, je suis sud-vendéen, né à Fontenay-Le-Comte, originaire de Fontaines, sans enfant, salarié. Pour le reste, je ne souhaite pas trahir l’anonymat auquel je m’astreins afin de protéger ma vie privée.
UJUP Raconte-nous la genèse de la page communautaire La Vendée sur facebook…
LV Il y a maintenant 3 ans et demi, j’ai lancé cette page sans objectif particulier mais afin, et surtout, de me faire plaisir en entreprenant un parcours désintéressé. Très attaché à mon territoire et son actualité, je souhaitais pouvoir partager des informations agrégées tous azimuts. Et parce que je ne souhaitais pas me restreindre à Fontenay Le Comte, j’ai décidé de cibler l’ensemble de l’identité vendéenne.
J’ai été le premier surpris du succès de l’audience de cette page, au bout d’un an cela avait déjà pris beaucoup d’ampleur.
Aujourd’hui, je consulte la page d’administration plusieurs fois par jour, sans pour autant sacrifier mon implication dans la vie active.
UJUP Quelles sont aujourd’hui tes motivations et tes ambitions ?
LV Pour ne rien te cacher, je ne serais pas mécontent d’atteindre les 10 000 fans d’ici la fin de l’année… Ma motivation première pour cette page est de continuer à informer la communauté vendéenne avec un certain devoir de neutralité.
J’avoue également le désir de me faire remarquer par les acteurs de la communication car c’est un domaine qui me passionne. Pas motivé par l’appât du gain, je souhaite simplement pérenniser le plaisir que l’administration de cette page m’amène au quotidien.
Très heureux des retours que je peux recevoir et de la relation entretenue avec cette communauté, cela me permet aussi d’entretenir la fierté vendéenne qui peut nous caractériser !
UJUP Et côté méthodologie et déontologie ?
LV Je remonte toutes les informations que je considère pertinentes. Les domaines couverts touchent au tourisme, l’actualité générale, l’économique, l’agenda des manifestations car le bénévolat vendéen est une force qui donne l’occasion de nombreuses fêtes ou rencontres.
La politique est également évoquée et je respecte la neutralité et la démocratie. Tous les partis sont représentés et traités sans distinction.
E69C8999UJUP Fort de la popularité de la page, te sens-tu obligé ou responsable et te considères-tu comme un influenceur ?
LV Non, je ne dois rien à personne. Je me considère comme un informateur plus qu’un influenceur. Et mon expérience amène la crédibilité.
UJUP Vis à vis des institutions officielles, comment te positionnes-tu?
LV Je les soutiens. Je veux dire par là que je relaie leurs informations. Il est vrai que j’ai un peu plus de fans que le Conseil Général sur facebook et parfois, je reconnais que cela peut engendrer une certaine confusion. Mais cela n’est pas de mon fait et lorsque je suis sollicité par quelqu’un qui pense s’adresser au département, je redirige toujours vers les contacts idoines en rappelant qu’il ne s’agit pas de la page officielle du département.
UJUP Quel est le profil type parmi tous ceux qui te suivent ?
LV C’est un homme entre 35 et 50 ans parmi ceux qui aiment la page. Concernant les consultations, en fonction des articles et de l’actualité, on se situe davantage entre 20 et 30 ans.
E69C9007UJUP Quelles sont tes sources ?
LV Je consulte avec assiduité les journaux vendéens, sans pour autant avoir mis en place d’alertes automatisées (je ne veux pas être esclave de notifications fortuites). Je vais à l’information et pas l’inverse. Je dispose également de pléthore de contacts sur le terrain qui me font bénéficier de ce qu’ils voient au quotidien. Et bien évidemment, les membres de la communauté participent activement aux remontées d’informations.
UJUP Si tu devais formuler une auto-critique ?
LV Et bien je ne suis pas infaillible côté orthographe et j’apprécie que l’on me corrige. De plus, on m’a déjà fait remarquer que j’étais plutôt focalisé sur le sud du département. Je m’applique pourtant à partager sans distinction géographique, même si je navigue souvent entre La Roche sur Yon et Fontenay Le Comte. Ceci dit, toute les contributions sont les bienvenues et si certains souhaitent que l’on parle davantage de leur commune, je reste ouvert à leurs contributions.
UJUP Comment définirais-tu la Vendée à un « profane » ?
LV Il s’agit du plus beau département français. Ses habitants, son hospitalité, son histoire, ses paysages, et la fierté qui anime les vendéens composent une équation remarquable.
UJUP Sais-tu quel a été ton article le plus populaire ?
LV Oui, il s’agissait d’un dessin représentant Astérix et Obélix aux abords du Puy du Fou et déclarant « Ils sont fous ces vendéens ! » lorsque notre parc a dépassé sur plusieurs critères celui d’Astérix.
UJUP Quel est ton endroit vendéen préféré ?
LV Je te mentirais si je te disais La Roche. Personnellement, je suis attaché à ma ville de naissance, Fontenay Le Comte et spécifiquement le centre ville.

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Un grand merci à Clément pour avoir bien voulu me consacrer un peu de son temps ainsi que pour sa patience durant la réalisation de cette série d’images !

France-Slovénie @ L’Acclameur

Sollicité pour couvrir un événement dans un endroit qui m’est cher, j’ai eu l’honneur d’une mission de reportage d’ambiance. Et comme l’Acclameur réserve toujours des surprises, j’ai pu découvrir un sport hautement dynamique. Et séduisant.

Voir ce bel écrin comble, pour un événement sportif de grande envergure, forcément, cela me fait vibrer.

Le cadre: un match comptant pour une qualification au championnat d’Europe.

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Le contexte :E69C0518pano

Le sport :

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A l’entrainement la veille, en repérage (je l’avoue, je ne suis pas spécialisé en photographie sportive et le fait de bien connaître voire de pratiquer le sport en question aurait été un avantage certain pour l’anticipation), papotant avec une consoeur qui suit les Chamois niortais, je sentais la pression monter d’un cran alors qu’elle me confiait que le volley est un des sports les plus difficiles à photographier.E69C0642

Au-delà des considérations basiques sur le privilège de pouvoir approcher l’équipe de France féminine de Volley (oui, elles sont belles et pétillantes, mais ma conscience professionnelle ne souffre pas la distraction), j’ai apprécié la bonne ambiance au sein du team et leur combativité communicative.

Même dans la défaite, elles s’encouragent et leur complicité fait plaisir à voir.

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Afin de ne pas me disperser, je me suis fixé quelques objectifs en amont (tout en m’autorisant une latitude d’improvisation), vous pouvez retrouver une galerie ici.

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Séance « Retour à trois »

J’aurai le plaisir de couvrir le mariage d’Aurélie et Vincent cet été. Souvenez-vous, nous avions déjà réalisé quelques portraits ensemble. Ils se marient non seulement cette année, mais ont également  récemment découvert les joies de la parenté. C’est pourquoi ils m’ont demandé une séance à domicile avec leur petit Emile. L’occasion de composer des images à la fois tendres et simples. Si vous cliquez sur les images, vous accéderez à une galerie plus complète.

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Avant des les quitter, j’ai eu envie de travailler sur une thématique « jeunes parents dépassés » (qu’ils ne sont absolument pas). C’est pourquoi nous avons effectué cette petite mise en scène. Je remercie Aurélie, Vincent et Emile pour leur participation.

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Séance « grossesse » dans une chèvrerie

Lorsqu’Andréa & Guillaume m’ont sollicité pour réaliser une séance « photos de grossesse », j’étais loin d’imaginer la surprise qu’ils me réserveraient… Je savais certes que nous serions sur une thématique « campagne/ferme » mais je ne m’attendais pas à cela: une chèvrerie!

J’ai adoré les photographier dans cet endroit, même si certaines biquettes en ont profité pour commencer à manger la manche de mon pull.

E69C0606Si vous cliquez sur les images, vous accéderez à une galerie plus complète.

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Témoin privilégié de leur intimité, je connais le sexe de l’enfant à venir, mais chut, pour l’heure cela reste un secret…E69C0700

E69C0729Je leur souhaite tout le bonheur du monde pour l’arrivée du bébé et les remercie pour m’avoir autorisé à partager ces images avec vous.

 

Le Club des Entrepreneurs du Marais Poitevin

Très attaché à mon territoire de vie ainsi qu’à ses acteurs, je fais partie du Club des Entrepreneurs du Marais Poitevin. Le 31 mars 2015 a eu lieu l’Assemblée Générale élective du club, l’occasion de remercier Thierry Blandineau, à l’origine du mouvement et de féliciter la nouvelle équipe élue. Si vous cliquez sur les images, vous accéderez à la galerie complète de ce moment à la fois solennel et convivial.

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Après notre réunion, nous avons pu profiter du spectacle très « à propos » de Jean-Marc Bonnet.

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J’ai à nouveau monté une petite caméra HD sur mon boîtier :

Soirée French Tech + Hackaniort

Pour cette 3ème édition de Niort Numeric, que j’ai toujours plaisir à couvrir et que j’ai vu naître, grandir et évoluer (ici les images de l’édition 2013 et là 2014 ), j’ai à nouveau été surpris par la qualité du programme proposé par les organisateurs.

Cette année, deux missions pour moi : une soirée French Tech et un Hackathon. Vous pourrez retrouver une galerie complète en cliquant sur les images.

Au-delà de son aspect convivial fait d’échanges et de rencontres, une soirée French Tech consiste en la mise en avant de sociétés émergentes qui ont 4 minutes pour présenter leur concept à l’assemblée (le fameux « pitch »).

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Un Hackathon est une épreuve marathon (contraction de ce dernier mot avec l’anglais « hack ») où des développeurs (mais pas que …) se réunissent pour faire de la programmation informatique collaborative en 24 heures. En l’occurrence, il s’agissait de développer une application en partenariat avec la société Koolicar. J’espérais pouvoir capturer des participants épuisés sur leurs claviers, entrain de céder aux bras de Morphée. Que nenni ! L’enthousiasme ambiant a été tel que tout le monde a été porté par l’excitation et les défis de l’épreuve.

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PUTS MARIE au festival Nouvelle(s) Scène(s) de Niort

Un mélange de Tom Waits et dEUS avec un chanteur charismatique qui nous emporte dans son chancellement. Retrouvez un galerie plus complète en cliquant sur les images.

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Un petit aperçu de ce très beau concert grâce à la mini-caméra HD fixée sur mon boîtier :

Nuit Blanche en couleurs 2015 à Niort

En cette nuit du 21 mars 2015, outre Nouvelle(s) Scène(s), se déroulait également un événement que j’affectionne particulièrement et où j’avais eu le privilège d’exposer l’an dernier. Impensable donc pour moi de ne pas faire un saut à la Nuit Blanche en couleurs 2015.

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L’occasion d’admirer le travail de plasticiens, d’artistes et de photographes tout en écoutant quelques concerts. Et surtout, l’opportunité de converser avec des amis, des connaissances ou de nouvelles rencontres.

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L’atmosphère nocturne est à la déambulation sans pression, à la faveur des surprises que l’on peut rencontrer. En l’occurrence, l’apport en vitamines était assuré.

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Avec la mini-caméra HD fixée sur mon boîtier, on a l’impression que mon obturateur est très bruyant : ce n’est pas le cas, je reste bien en mode silencieux pour ne pas déranger les artistes.

D-BANGERZ au festival Nouvelle(s) Scène(s) de Niort

Je me disais bien que j’avais décelé un léger accent qui me rappelait mes origines: c’est a posteriori que j’ai découvert que ce groupe vient de Mulhouse. Cliquez sur les images pour accéder à la galerie complète.

E69C9314De puissantes basses, un impressionnant flux de parole,  et des textes qui font mouche.

E69C9402Fixée sur mon boîtier, une mini-caméra HD me permet de vous emmener avec moi :

ANIMAL FYESTA – PIANO CHAT & COCKTAIL PUEBLO au festival Nouvelle(s) Scène(s) de Niort

Le festival n’est pas réservé aux adultes et c’est tant mieux! Mes enfants ont adoré. Pour accéder à la galerie complète, cliquez sur les images.

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Le tout s’est fini dans une partie endiablée de limbo et sous une pluie de confettis.

E69C8955Enfin, je vous propose un petit aperçu réalisé au moyen d’une mini-caméra HD montée sur mon boîtier :

Jeanne Added au festival Nouvelle(s) Scène(s)

Lorsque le concert a commencé, en découvrant ces filles sur scène, j’ai d’abord pensé à Théodore, Paul & Gabriel puis, vite envoûté par la voix magnétique de la chanteuse, cette première impression fut vite oubliée. Pour finir charmé par une new wave pure et efficace.

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En cliquant sur les images, vous accéderez à la galerie complète.E69C9098Histoire de vous donner un tout petit aperçu, j’ai monté une mini-caméra HD sur mon boîtier :

 

Flânerie parisienne

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Avant le lancement de la saison des mariages 2015, je me suis rendu à Courbevoie pour confier un de mes boîtiers ainsi que quelques objectifs à Canon, histoire d’effectuer un grand nettoyage de printemps. Pendant que les techniciens oeuvraient,  j’en ai profité pour visiter quelques expositions et flâner dans la capitale. En cliquant sur les images, vous accéderez à la galerie complète.

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Shooting « Journée de la femme »

Sollicité par la société Webhelp qui, pour la journée de la femme, a souhaité mettre en avant les femmes de l'entreprise, j'ai été amené à réaliser le portrait d'Audrey, à la fois tout en respectant le brief précis de la maison mère et en restant force de propositions. Il s'agissait de réaliser un portrait sur fond blanc, avec lumière principale venant de la droite du modèle qui devait légèrement pencher la tête et se mettre de profil, cadrage sous les genoux.

Outre ce contexte et détail important, Audrey attend un heureux événement. Pour autant, il ne fallait pas que la grossesse devienne le sujet principal.

En une petite heure, nous avons ainsi pu réaliser plusieurs images pour que la direction puisse faire son choix.

Grand merci à Audrey pour son implication.  

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Voici le résultat final :

Audrey

 

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